Léonie Renaud

PRESS

Revue Musicale de Suisse romande · La Bohème
March 2023
« Les spectateurs ont pu découvrir le couple vif et pétillant, et surtout très complice, formé par le Marcello d'Alexandre Beuchat et la Musetta de Léonie Renaud. »
— Claudio Pisoni
 

Le Temps · La Bohème
February 2023
« Léonie Renaud, dans sa robe Belle Epoque, croque l’exubérance de Musetta à pleine voix. »
— Juliette de Banes Gardonne
 

Forum Opéra · Frankenstein Jr
October 2021
« ...Il en va de même de Léonie Renaud (Elisabeth), soprano aux graves solides, aux aigus éblouissants, qui se double d’une excellente comédienne. Dès son « Stop ! on n’touche pas » à son enlèvement par le monstre, c’est un régal, à l’égal de son « Profond, à moi l’amour ». »
— Yvan Beuvard
 

Resmusica · Frankenstein Jr
October 2021
« La soprano Léonie Renaud, dont le parcours est davantage marqué par la musique classique, utilise à bon escient ses solides ressources vocales pour suggérer le snobisme social de la fiancée new-yorkaise de Frankenstein, Elizabeth. En cela, elle est parfaitement assortie au monstre qu’incarne l’imposant Jean-Fernand Setti, chanteur lyrique dont le beau baryton permet à la fin de l’ouvrage de démontrer toute la noblesse d’âme et la beauté intérieure du personnage de la créature de Frankenstein. »
— Pierre Degott
 

O Lyrix · Frankenstein Jr
October 2021
« Léonie Renaud, qui joue Elizabeth la fiancée de ce Frankenstein Junior, incarne l’archétype de la mondanité bourgeoise américaine. Celle qui interprétait Marzelline dans Fidelio en juin semble beaucoup s’amuser. Arrondissant sa voix pour ce rôle, elle dévoile un peu plus de puissance sonore, sur un vibrato très ample, au cours du deuxième acte, comme pour libérer une avalanche d’amour pour le Monstre de Frankenstein. »
— William Goutfreind
 

Concertonet · Frankenstein Jr
October 2021
« Du côté des chanteurs lyriques, Léonie Renaud brille en fiancée fofolle et vocalisante dans les bras d’un Jean-Fernand Setti taillé pour le rôle avec son double mètre... »
— Philippe Manoli
 

Olyrix · Carmen
October 2021
« Dans un tout autre registre, l’autre soprano du plateau est Léonie Renaud en Frasquita : la largesse du timbre de Philiponet laisse place à la délicatesse d’aigus aiguisés et légers, tout en nuances. Sa comparse Mercedes est incarnée par Violette Polchi qui compose la deuxième entité d’un duo équilibré et complice. La mezzo-soprano propose une voix légèrement cuivrée et de très beaux graves »
— Malory Matignon
 

Olyrix · Fidelio
June 2021
« La première scène commence avec le duo Marzelline/Jaquino, interprété par la soprano helvétique Léonie Renaud et le ténor chinois Yu Chen. La soprano lyrique, en robe blanche sale, privilégie les voyelles, d’un vibrato romantiquement ample, et cherche à gagner prudemment une puissance qu’elle atteindra dans la deuxième partie de l’opéra. »
— William Goutfreind
 

Forum Opera · Fidelio
June 2021
« Léonie Renaud (Marzelline) et Yu Chen (Jaquino) égaillent les premières scènes de leurs timbres clairs et fruités. »
— Yannick Boussaert
 

Res Musica · Fidelio
June 2021
« ...Les voix plus légères, notamment le soprano frais et cristallin de Léonie Renaud, »
— Pierre Degott
 

olyrix · Haydn-Die Schöpfung
February 2020
« La soprano suisse Léonie Renaud interprète ce soir les rôles de l’Archange Gabriel et de la première femme sur Terre, Ève. Comme chacun de ses collègues, elle déploie son art vocal tant en récitatifs qu’en airs, mettant son élasticité sonore au service de la virtuosité. De ce fait, les vocalises sont fluides et sans encombre, leur exploration arrive à son éclat dans les cimes de sa tessiture où la soprano peut pleinement déployer son instrument de colorature. »
— Vojin Jaglicic
 

Online Musik Magazin · Don Quichotte
July 2019
« Léonie Renaud und Vera Maria Bitter geben mit jugendlichem Klang und viel Charme Dulcinées (von Massenet im Sopran vertonte) Verehrer Pedros und Garcias. »
— Stefan Schmöe
 

Res Musica · Orphée et Eurydice
March 2019
«  »
 

Olyrix · Orphée et Eurydice
March 2019
« Léonie Renaud, au rôle plus bref d’Eurydice, traverse d’abord la scène en virevoltant comme son double dansant. Les retrouvailles avec Orphée, sur les hauteurs des tréteaux, convoquent un timbre tendre aux aigus ensoleillés, avant de faire place à l’inquiétude et au désespoir par des aigus toujours précis et de belles montées. »
— Céline Wadoux
 

Der Standart · Carmen
July 2018
«  »
— Stefan Ender
 

Walliser Bote · Requiem Franz von Suppé
March 2018
« Sopranistin Renaud, die in grosse Höhen aufzusteigen hatte, gefiel mit leuchtender und doch warmer Stimme etwa in «Juste Judex» (Gerechter Richter). »

Classique News · L'auberge du Cheval blanc
January 2018
« Ottilie, la fille de l’industriel bruxellois, a tout pour séduire ce dernier, y compris la voix. »
— Albert Dacheux

Olyrix · L'auberge du Cheval blanc
January 2018
« Au réveil de la fille du chocolatier, la parade amoureuse de Siedler et d’Ottilie permet à Carl Ghazarossian de trouver une articulation plus nette, se calquant sur la diction précise de Léonie Renaud et ses jolis vibratos pendant leur duo sur l’air « Tout bleu ». »
— Céline Wadoux

Opera online · Werther
March 2017
« La voix fraîche de Léonie Renaud en fait une délicieuse Sophie »
— Emmanuel Andrieu

Le Temps · La Vie parisienne
January 2017
« La gracieuse Léonie Renaud séduit dans son charmant duo avec le baron («L’amour, c’est une échelle immense») »
— Julian Sykes

Opera Online · Ariane à Naxos
March 2014
« Nous n'oublierons pas non plus de citer les trois nymphes (Léonie Renaud, Charlotte Labaki et Marion Grange) dont le dernier trio, alla Schubert, en contrepoint du grand duo, restera comme un des moments forts de la soirée. »
— Emmanuel Andrieu

Opéra Magazine · Hänsel und Gretel
February 2014
« Confiée à de jeunes chanteurs, cette nouvelle production de l'Opéra-Théâtre de Metz Métropole est sur le plan vocal de très bonne tenue... En ado qui a grandi trop vite, la Gretel de Léonie Renaud n'est pas en reste, voix saine aux aigus assurés. La complémentarité fraternelle témoigne d'une réelle complicité. »
— Jean-Marc Proust